Archive pour inconfort

Manque de confiance en soi

Posted in Coaching, Comportement with tags , , , , , , , , , , on 18 Mai 2015 by Stephanie Graf, Licoach

Il nous est tous arrivé de manquer de confiance en soi, face à certaines personnes ou dans certaines situations, à certains moments précis de l’existence ou, pour d’autres, de manière plus généralisée pendant une période précise. Le sentiment d’inconfort généré par cette sensation mérite que l’on prenne le temps d’en observer les composantes. Car celui-ci contient une formidable possibilité de développement.

Tout d’abord, il faut savoir que ce que l’on appelle en général le « manque de confiance en soi » contient en fait deux niveaux : la confiance en soi et l’estime de soi. De plus, ces niveaux s’influencent mutuellement. C’est pour cette raison qu’il est important de les distinguer.

L’estime de soi
Elle englobe les valeurs d’un individu. Elle augmente lorsqu’il se sent en accord avec les principes et les codes de l’environnement dans lequel il évolue (professionnel, privé, amical, etc). Le manque d’estime surgit lorsque la personne ne se sent plus en harmonie avec le milieu dans lequel la carence apparaît.

La confiance en soi
Elle englobe les compétences d’un individu. Elle augmente lorsqu’il se sent capable d’atteindre les objectifs attendus par l’environnement dans lequel il évolue (professionnel, privé, amical, etc). Le manque de confiance surgit lorsque la personne pense ne pas/plus avoir les compétences nécessaires pour opérer dans le milieu où la carence apparaît.

Développer l’estime de soi
Chacun de nous a besoins de plusieurs dimensions dans sa vie. Parmi elles, on trouve : le professionnel, le familial, l’amical, le social, le personnel et le spirituel. Tous n’ont pas les mêmes besoins et les priorités changent au cours de l’existence. Il peut être utile, notamment en période d’inconfort, de s’interroger individuellement sur ses propres aspirations, les hiérarchiser par ordre d’importance et trouver de nouvelles pistes de développement personnel. L’objectif étant d’établir une cohérence entre les différentes dimensions priorisées, en vue de (r)établir l’harmonie. Il semblerait que pour les personnes orientées vers la réflexion, ce serait le développement de l’estime de soi qui leur permettrait de s’améliorer.

Développer la confiance en soi
Il s’agit d’entendre les critiques constructives et bienveillantes que nous adressent notre entourage, car elles contiennent des indices relatifs à notre potentiel d’amélioration, tant il est vrai que l’autosatisfaction excessive immobilise l’individu dans l’absence de progression. En cas de difficulté, il est contreproductif de chercher les erreurs des autres, même si elles existent, ce ne sont pas elles qui nous permettront d’augmenter nos performances. Par ailleurs, il peut s’avérer utile de s’inspirer de modèles de comportements qui nous paraissent admirables. Pour les personnes davantage orientées vers l’action, il est recommandé de travailler sur la confiance.

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Trouver ou retrouver l’équilibre personnel

Posted in Coaching, Communication, Comportement with tags , , , , , , , , , , , , , , on 31 octobre 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Dans le courant de l’existence, mais aussi dans le déroulement d’une simple journée, chaque individu connaît des fluctuations personnelles dans son être. Chacun tente, avec ses moyens/compétences du moment, de prendre soin de soi, en répondant aux manques qui se présentent, en vue de conserver/rétablir son propre équilibre.

La nature des besoins
Les besoins personnels sont plus ou moins conscients. Par exemple, la sensation de faim ou de sommeil sont en général conscientes et, de ce fait, il nous y est plus facile d’y répondre, en se nourrissant ou en se reposant.

Cependant, il peut arriver que nous identifiions mal le besoin. Par exemple, si je vais me coucher alors qu’en réalité j’ai faim, cela va engendrer une frustration qui va demeurer tant que le véritable besoin n’aura pas été comblé. Autrement dit, je continuerai d’avoir faim et je risque de ne pas dormir dans de bonnes conditions, puisque la qualité de mon sommeil est entravée par la gêne inhérente à la faim non comblée.

Par ailleurs, certains besoins sont inconscients. C’est notamment le cas lorsque je sens que quelque chose ne va pas comme je le souhaiterais, que je ressens une forme d’inconfort, sans que je ne sache pour autant quoi faire pour que celle-ci disparaisse. Parfois, ce désagrément disparaît par lui-même. Dans d’autres cas, celui-ci perdure, malgré les différentes solutions que j’ai tenté d’appliquer.

La subtilité de l’équilibre humain
L’humain possède en lui trois niveaux : l’intellectuel, le physique et l’émotionnel. Certains parlent aussi de la tête, du corps et du cœur. Chacune de ses niveaux se divisent en de nombreuses composantes. L’intellectuel regroupe tout ce qui est de l’ordre du raisonnement pur et des connaissances. Le physique se compose de tout ce qui regroupe la santé du corps, mais aussi les mouvements et l’habileté manuelle. Enfin, l’émotionnel englobe tout ce qui est de l’ordre du relationnel, avec soi, comme avec les autres.

Construction du déséquilibre
Lorsqu’ une ou plusieurs composantes de l’un, de deux ou des trois niveaux (intellectuel-physique-émotionnel) sont mises à l’épreuve, l’individu ressent un inconfort plus ou moins conséquent. Il va alors essayer de se débarrasser de ce sentiment de mal-être, avec plus ou moins de succès.

Il arrive également qu’un déséquilibre qui s’installe à un niveau entraîne une péjoration d’un autre élément du même niveau. Par exemple, si j’ai une jambe cassée (niveau physique), mes capacités de mouvement (toujours niveau physique) seront moins efficaces. Cet exemple se veut volontairement simple pour davantage de clarté. Néanmoins, en cas de mal-être persistant, les éléments sont plus subtils et moins conscients.

Il peut aussi arriver qu’un déséquilibre qui s’installe à un niveau entraîne une péjoration d’un élément situé dans un autre niveau. Par exemple, si j’ai mal à la tête (niveau physique), mes capacités à tenir un discours (niveau intellectuel, voire émotionnel) seront moins efficaces. Cet exemple se veut volontairement simple pour davantage de clarté. Néanmoins, en cas de mal-être persistant, les éléments sont plus subtils et moins conscients.

Solution
En étudiant individuellement toutes les composantes de chacun des 3 niveaux, il devient possible de déterminer l’origine du déséquilibre. Identifier les causes (conscientes ou inconscientes) permet ainsi de planifier les éléments à mettre en place, afin de se débarrasser du mal-être ressenti par l’individu.

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