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Trouver ou retrouver l’équilibre personnel

Posted in Coaching, Communication, Comportement with tags , , , , , , , , , , , , , , on 31 octobre 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Dans le courant de l’existence, mais aussi dans le déroulement d’une simple journée, chaque individu connaît des fluctuations personnelles dans son être. Chacun tente, avec ses moyens/compétences du moment, de prendre soin de soi, en répondant aux manques qui se présentent, en vue de conserver/rétablir son propre équilibre.

La nature des besoins
Les besoins personnels sont plus ou moins conscients. Par exemple, la sensation de faim ou de sommeil sont en général conscientes et, de ce fait, il nous y est plus facile d’y répondre, en se nourrissant ou en se reposant.

Cependant, il peut arriver que nous identifiions mal le besoin. Par exemple, si je vais me coucher alors qu’en réalité j’ai faim, cela va engendrer une frustration qui va demeurer tant que le véritable besoin n’aura pas été comblé. Autrement dit, je continuerai d’avoir faim et je risque de ne pas dormir dans de bonnes conditions, puisque la qualité de mon sommeil est entravée par la gêne inhérente à la faim non comblée.

Par ailleurs, certains besoins sont inconscients. C’est notamment le cas lorsque je sens que quelque chose ne va pas comme je le souhaiterais, que je ressens une forme d’inconfort, sans que je ne sache pour autant quoi faire pour que celle-ci disparaisse. Parfois, ce désagrément disparaît par lui-même. Dans d’autres cas, celui-ci perdure, malgré les différentes solutions que j’ai tenté d’appliquer.

La subtilité de l’équilibre humain
L’humain possède en lui trois niveaux : l’intellectuel, le physique et l’émotionnel. Certains parlent aussi de la tête, du corps et du cœur. Chacune de ses niveaux se divisent en de nombreuses composantes. L’intellectuel regroupe tout ce qui est de l’ordre du raisonnement pur et des connaissances. Le physique se compose de tout ce qui regroupe la santé du corps, mais aussi les mouvements et l’habileté manuelle. Enfin, l’émotionnel englobe tout ce qui est de l’ordre du relationnel, avec soi, comme avec les autres.

Construction du déséquilibre
Lorsqu’ une ou plusieurs composantes de l’un, de deux ou des trois niveaux (intellectuel-physique-émotionnel) sont mises à l’épreuve, l’individu ressent un inconfort plus ou moins conséquent. Il va alors essayer de se débarrasser de ce sentiment de mal-être, avec plus ou moins de succès.

Il arrive également qu’un déséquilibre qui s’installe à un niveau entraîne une péjoration d’un autre élément du même niveau. Par exemple, si j’ai une jambe cassée (niveau physique), mes capacités de mouvement (toujours niveau physique) seront moins efficaces. Cet exemple se veut volontairement simple pour davantage de clarté. Néanmoins, en cas de mal-être persistant, les éléments sont plus subtils et moins conscients.

Il peut aussi arriver qu’un déséquilibre qui s’installe à un niveau entraîne une péjoration d’un élément situé dans un autre niveau. Par exemple, si j’ai mal à la tête (niveau physique), mes capacités à tenir un discours (niveau intellectuel, voire émotionnel) seront moins efficaces. Cet exemple se veut volontairement simple pour davantage de clarté. Néanmoins, en cas de mal-être persistant, les éléments sont plus subtils et moins conscients.

Solution
En étudiant individuellement toutes les composantes de chacun des 3 niveaux, il devient possible de déterminer l’origine du déséquilibre. Identifier les causes (conscientes ou inconscientes) permet ainsi de planifier les éléments à mettre en place, afin de se débarrasser du mal-être ressenti par l’individu.

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Prendre conscience de soi et savoir qui l’on est vraiment

Posted in Coaching, Comportement, Personnalités with tags , , , , , , , , , , , , on 23 octobre 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Il vous est certainement déjà arrivé de ressentir un certain malaise face à un choix ou face à une obligation, dans la vie professionnelle ou privée. Parfois, on sent que « quelque chose ne joue pas », mais on ne prend que très rarement le temps d’approfondir le sentiment d’incertitude qui nous traverse l’esprit un bref instant, afin d’en comprendre les causes.

Pourtant, ce cheminement personnel peut avoir de nombreux impacts positifs, d’abord pour soi-même, mais aussi pour ceux qui nous sont proches : famille, amis, collègues.

La construction de la personnalité
Indépendamment des facteurs purement héréditaires, de l’ordre des caractéristiques physiques, nous sommes, dès la naissance, influencés par tout ce qui évolue dans notre environnement. Celui-ci se compose de nombreuses personnes, mais possède également tous les critères liés à l’époque et à la culture. Nous accumulons, ainsi, une foule d’informations et adoptons certaines d’entre-elles comme s’il s’agissait de réalités immuables. Albert Einstein parlait de « l’accumulation des préjugés acquis jusqu’à l’âge de 18 ans ». Ceux-ci vont modeler notre véritable personnalité, tant et si bien que nous finissons par devenir quelqu’un d’autre que nous-mêmes.

Etre soi
Evoluer pour être soi-même est possible. Autant faut-il encore savoir comment se découvrir, pour devenir soi. La Programmation Neuro-Linguistique (PNL) offre une palette d’outils efficaces et personnalisables, avec pour objectif l’obtention de résultats rapides. Méthode au succès florissant, depuis sa création par John Grinder, linguiste, et Richard Bandler, mathématicien et psychothérapeute, au début des années 1970, consiste en un processus d’intervention brève de développement personnel.

Etre soi, découvrir ses valeurs personnelles et ses peurs inconscientes, qui influencent nos actes et nos choix ; comprendre l’origine des blocages individuels, afin de les dépasser ; développer ses forces conscientes et repérer celles qui sommeillent en nous, ce sont tous des objectifs que je vous propose en tant que praticienne PNL.

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Il est impossible de ne pas communiquer

Posted in Coaching, Communication, Comportement with tags , , , , on 12 septembre 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Même en restant immobile et muet, il existe toujours une part de communication. En effet, dans tout message, il existe deux modes de communication :

  1. Le mode verbal regroupe tout ce qui est de l’ordre du langage, des mots, des contenus.
  2. Le non-verbal regroupe toutes les autres informations qui accompagnent le dialogue, telles que le ton de la voix, la gestuelle, l’apparence, etc.

Fonctionnement du cerveau
Le cerveau humain se compose de trois parties distinctes. Le cerveau cortical qui est directement en lien avec la réflexion, l’intellectualisation d’un message, d’un constat. Le cerveau limbique est le siège des émotions, il perçoit le non-verbal et génère les réactions automatiques, apprises/acquises au cours de l’existence. Enfin, le cerveau reptilien qui réagit en situation de stress extrême ou de danger imminent.

L’impact d’un message
La partie verbale, donc les mots, les contenus, ne constitue qu’un faible pourcentage de l’impact global d’un message sur son destinataire. En effet, 55% de l’impact est généré par la gestuelle et l’apparence, 38% par la voix (ton, cadence, force) et seulement 7% par le langage et les mots.

L’interprétation d’un message
Chacun interprète un message, selon des sortes de filtres personnels. Ses filtres découlent des expériences heureuses ou malheureuses qu’il a effectuées au cours de son existence. Ce sont aussi elles que nous nommons couramment les préjugés. Cette théorie peut être facilement vérifiée dans le quotidien. Par exemple, si vous soumettez une image représentant une scène de la vie courante à un groupe de personnes ou si ce même groupe assistait à un événement précis en même temps, il est pratiquement certain qu’aucun ne décrirait exactement la même chose. Pourtant, tous ont vécu la même situation, au même moment.

En conclusion
Ceci permet donc de constater que la partie informative, le contenu, d’un message n’atteint véritablement sa cible que lorsqu’une relation de qualité a pu être instaurée.
NB : cet élément constitue l’un des « présupposés de la PNL » (Programmation Neuro-Linguistique)

Ce que vous percevez n’est pas la réalité

Posted in Coaching, Communication, Comportement, Management with tags , , , , , , , , , , , , on 23 juin 2014 by Stephanie Graf, Licoach

En effet, tout ce que nous voyons, ou plutôt ce que nous croyons voir, n’est que le reflet de notre propre réalité et il ne s’agit aucun cas d’une vérité universelle, partagée par tous.

Selon le concept d’Alfred Korzybski, philosophe et scientifique américano-polonais, la « carte n’est pas le territoire ». Autrement dit, même si le « territoire » existe réellement, les représentations ou « cartes », que nous nous créons dans chaque situation, sont personnelles. En fait, il existe autant de cartes qu’il y a d’êtres humains. Chaque être humain appréhende le monde en utilisant ses propres filtres. Voici ces filtres :

Les filtres sensoriels
Il y a la réalité, telle que nous pouvons la percevoir. Puis, pour l’intégrer en nous, s’en faire une idée, nous passons cette réalité au travers de nos sens. Ceux-ci composent un système nommé VAKOG : « V » pour visuel, « A » pour auditif, « K » pour kinesthésique, « O » pour olfactif et « G » pour gustatif. Chacun de nous privilégie un de ses sens et plus fréquemment les 3 premiers, c’est-à-dire regarder/observer pour les visuels, écouter/entendre pour les auditifs et sentir/ressentir pour les kinesthésiques.

Les filtres physiologiques
Ces filtres, que nous nommons également « EI » ou Etats Interne, représentent ce que je vis en moi au moment présent. Cela englobe autant les émotions, que les messages physiques que mon corps me transmet, à tous les niveaux que l’on peut trouver entre bien-être et souffrance. Aucun être humain n’est linéaire. Sa condition interne varie, considérablement au cours de l’existence et même au cours d’une simple journée.

Les filtres socio-culturels
Les éléments socio-culturels englobent tout ce qui a trait à l’appartenance culturelle, sociale, religieuse de l’époque et du lieu dans lequel chacun évolue. A cela s’ajoutent encore les expériences réalisées au cours de l’existence, la façon avec laquelle elles ont été vécues et ce qui en a été retiré. Ces éléments conditionnent notamment le système des valeurs, c’est-à-dire ce qui est important pour chacun.

Une communication efficace
Pour communiquer de manière efficace, il convient de rejoindre notre interlocuteur dans son propre système. En résumé, il s’agit de comprendre le filtre sensoriel qu’il privilégie, ce qu’il vit, sa provenance culturelle et ses valeurs. Néanmoins, cette stratégie nécessite, avant toute chose, de bien se connaître soi-même à ces niveaux.

« Entre ce que vous pensez, ce que vous voulez dire, ce que vous croyez dire, ce que vous dites, ce que l’autre veut entendre, ce qu’il croit comprendre, ce qu’il veut comprendre et ce qu’il comprend… Il y a au moins huit possibilités de ne pas vous entendre ».

NB : cet élément constitue l’un des « présupposés de la PNL » (Programmation Neuro-Linguistique)

 

Votre personnalité est unique

Posted in Coaching, Personnalités with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 29 avril 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Nous sommes tous capables d’éprouver des sentiments, de vivre des émotions, de penser, de faire preuve d’humour, de réussir et d’apprécier des choses, de travailler, de faire preuve de talents, de se développer et d’évoluer et de devenir la personne que l’on est vraiment.

Beaucoup ont peur de la souffrance, de la colère, du vide intérieur, de l’échec, des conflits, de la faiblesse, de la banalité, de reconnaître leur importance et leurs potentiels.

Mais ce qui nous différencie les uns des autres, c’est l’ordre dans lequel certaines qualités prédominent par rapport aux autres.

Nous pouvons tous être coléreux, paresseux, envieux, peureux, avares, culpabilisants, dévalorisants à l’égard des autres ou de soi-même, être inconscients, illogiques, indolents, narcissiques, orgueilleux, indifférents et fuir la colère, la reconnaissance de nos propres besoins, l’échec, la banalité, le vide intérieur, la souffrance, la faiblesse, les conflits.

Mais ce qui nous différencie les uns des autres, c’est l’ordre dans lequel certaines de ces limites prédominent par rapport aux autres.

En résumé, nous avons tous « une association » de qualités, de tendances, de forces et de faiblesses, organisées d’une manière particulière et unique. C’est ce que l’on appelle notre Type de personnalité individuelle.

Lequel de ces profils vous parle?
Pour commencer, essayer de déterminer, parmi les descriptions suivantes, celle qui vous correspond le mieux :

Quand je vais bien j’ai tendance à développer des qualités artistiques et intuitives, de la sensibilité pour autrui et en situation de stress je peux me montrer renfermé et mélancolique. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu pour mon identité singulière. J’ai besoin que les autres voient que je suis différent et je vous surtout éviter d’être considéré comme pareil aux autres.

Quand je vais bien j’ai tendance à me montrer énergique et convaincant et en situation de stress je opportuniste et menteur. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu pour mes réussites. J’ai besoin que l’on m’apprécie et je veux surtout éviter de ne pas être apprécié, voire admiré.

Quand je vais bien j’ai tendance à me montrer altruiste, empathique et en situation de stress je deviens culpabilisant et intéressé. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu pour le dévouement que j’offre aux autres. J’ai besoin que l’on me montre que l’on m’aime et je veux surtout éviter d’avoir le sentiment de ne servir à rien.

Quand je vais bien j’ai tendance à partager ma joie, être attentionné et amusant et en situation de stress je peux me montrer agressif et odieux, voire excessif dans plusieurs domaines. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu pour mon plaisir de vivre. J’ai un besoin constant de vivre des choses stimulantes et je veux surtout éviter les emmerdements.

Quand je vais bien j’ai tendance à développer et partager mes connaissances des autres et de l’environnement et en situation de stress je m’isole et peut me montrer cynique et querelleur. Ce qui compte pour moi, c’est de montrer ce que je sais, ce que je connais. J’ai besoin de montrer que je suis bien informé et je veux surtout éviter de me laisser envahir par les autres.

Quand je vais bien j’ai tendance à me montrer fiable, impliqué et loyal avec mes proches et en situation de stress je peux me dévaloriser et devenir anxieux. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu pour ma droiture. J’ai besoin d’être capable de survivre par mes propres moyens et je veux surtout éviter que l’on se soit pas réglo avec moi.

Quand je vais bien j’ai tendance à tout assumer avec humilité et optimisme et en situation de stress j’ai tendance à fuir les problèmes et les conflits, à me montrer paresseux et négligeant. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu comme facile à vivre. J’ai besoin de ne froisser personne et je veux surtout éviter les disputes et les tensions.

Quand je vais bien j’ai tendance à me montrer courageux, voire héroïque et en situation de stress je peux me montrer impitoyable et directif. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu comme fort. J’ai besoin de pouvoir affirmer mon autorité et je veux surtout éviter de ne pas être à la hauteur et de perdre le contrôle de mon environnement.

Quand je vais bien j’ai tendance à me montrer réaliste et consciencieux et en situation de stress je peux me montrer intolérant et sévère. Ce qui compte pour moi, c’est d’être reconnu pour la qualité de ce que je fais. J’aime que l’on constate que j’ai raison et je veux surtout éviter de montrer ma colère.

Vous avez envie d’en savoir davantage ?
N’hésitez pas à me contacter : info@licoach.com
Je suis à disposition pour répondre à vos demandes de complément d’information, au sujet des profils décrits ci-dessus.