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Une autre voie pour réussir

Posted in Coaching, Comportement, Couple, Management with tags , , , , , , , , , on 18 avril 2015 by Stephanie Graf, Licoach

Parfois, en contrairement à ce que l’on croit, notamment en période de doute ou d’échec, la réussite n’est pas aussi lointaine que l’on pourrait l’imaginer. Basée sur une philosophie asiatique des paradoxes, la sagesse pourrait découler d’un changement de notre façon de voir le monde sous un angle différent, tout en nous rapprochant de l’essence initiale et de la nature.

Un mode de pensée différente
Dans un monde où la principale certitude est le changement, il peut être judicieux de sortir des limites inhérentes à la pensée rationnelle, dans laquelle nous avons baigné dès notre plus tendre enfance. En dehors des présupposés de la PNL, je vous invite à découvrir « Le paradoxe du poisson rouge : une voie chinoise pour réussir », par Hesna Cailliau, aux Ed. Saint Simon. Voici les 8 règles de ce poisson résistant, dont l’espérance de vie peut aller jusqu’à 30 ans :

1. Le poisson rouge ne se fixe pas à un port
Le danger est de vouloir avoir raison, notamment en restant attaché à des modèles préconçus, obsolètes ou inadaptés. Il est plus intéressant d’observer, plutôt que de seulement penser.

2. Le poisson rouge n’a pas un but clair et précis pour réussir
Le temps qui s’écoule obéït à des cycles. En ce sens, il n’y a ni début, ni fin. S’enfermer dans un objectif, sans l’adapter au fur et à mesure des évènements est une perte de temps et d’énergie.

3. Le poisson rouge vit dans l’instant présent
Dans notre vie, Il n’y a qu’un seul instant où nous avons un impact, c’est l’instant présent. Pour le passé c’est déjà trop tard et pour le futur c’est encore trop tôt.

4. Le poisson rouge évite la ligne droite
La meilleure façon d’éviter un obstacle est de le contourner. Il est important de laisser une porte de sortie à l’adversité et d’éviter autant que possible les affrontements, source de perte d’énergie.

5. Le poisson rouge n’est heureux qu’en vivant en groupe
L’intelligence collective est plus créative que l’intelligence individuelle. Il s’agit de renforcer sa modestie, ne pas étaler ses talents et savoir se mettre en position de profil bas.

6. Le poisson rouge se meut avec aisance dans le mouvement
Rien n’est immuable. Les certitudes peuvent constituer des parasites pour l’évolution. Il convient de vivre les échecs avec sérénité, car « celui qui n’apprend pas à échouer, échoue à apprendre ».

7. Le poisson rouge est calme et serein
L’esprit inquiet sera toujours vaincu par l’esprit serein, car quand on cesse de penser et de s’inquiéter, on peut enfin être, en vue de retrouver énergie et capacités.

8. Le poisson rouge remonte à la source
Ne pas rejeter ses origines et les enraciner, afin de pouvoir partir et revenir avec sérénité et confiance.

Bore-Out: syndrome d’épuisement par ennui

Posted in Coaching, Comportement with tags , , , , , , , , , , , on 18 avril 2015 by Stephanie Graf, Licoach

Tout comme le burn-out, le bore-out ne doit pas être considéré comme une forme de faiblesse. Il s’agit plutôt d’un épuisement à la fois physique, psychologique et émotionnel, résultant de l’énorme effort d’adaptation d’un individu à un environnement précis. L’un comme l’autre n’en demeure pas moins des signes conséquents d’un déséquilibre existentiel, sur lequel il est urgent de réagir, par une prise en charge rapide et efficace.

Le bore-out, syndrome moderne croissant, dont on parle maintenant depuis quelques années, est, en quelque sorte l’opposé du burn-out, puisque celui-ci est directement lié à l’ennui et au désintérêt. Pourtant, à terme, tous deux peuvent avoir des conséquences similaires pour les personnes qui en souffrent.

Définition
Selon la théorie de Peter Werder et Philippe Rothlin, deux consultants d’affaires suisses, in « Diagnosis Boreout », le bore-out ou « syndrome d’épuisement par l’ennui » est un trouble engendré par le manque de sollicitations intéressantes et de satisfaction. Ces carences conduisent à l’absence de sens, aux doutes sur la valeur de sa mission et finalement à la perte d’intérêt pour celle-ci. Les travailleurs du secteur tertiaire y seraient davantage exposés. L’environnement possède également sa part de responsabilité dans la survenue de ce syndrome, notamment au niveau du manque de temps consacré à l’écoute des besoins, aux degrés des responsabilités confiées, de la reconnaissance et parfois des « mises au placard ».

Symptômes
Dans notre société, les attentes sont multiples et grandissantes. Le contexte doit pouvoir répondre à nos besoins de prospérité, d’épanouissement, de développement, voire de plaisir. Lorsque toutes ces aspirations sont englouties par une activité sans intérêt, l’ennui finit par surgir. Il faut préciser qu’il ne s’agit pas d’un manque d’activités, mais d’activités inintéressantes ou insuffisamment reconnues. Les symptômes sont similaires à ceux que l’on observe dans le burn-out.

Stratégies
Les personnes qui souffrent de bore-out emploient des stratégies d’évitement dans le but de ne pas recevoir de nouvelles tâches dénuées d’intérêt. Ainsi, certains peuvent étirer la durer des tâches sur un délai bien supérieur à ce qui serait nécessaire à leur réalisation. D’autres simuleront un surcroît de travail en paraissant stressés ou en effectuant des heures supplémentaires inutiles (présentéïsme).
Conséquences
Pour les employés indépendamment de l’insatisfaction et de l’ennui, le danger réside dans la perte de l’estime de soi et de l’épuisement physique, intellectuel et émotionnel. Pour l’environnement, la charge financière, due aux « fausses » heures supplémentaires et à la mise en arrêt maladie, s’ajoute aux risques inhérents au manque de loyauté

Trouver ou retrouver l’équilibre personnel

Posted in Coaching, Communication, Comportement with tags , , , , , , , , , , , , , , on 31 octobre 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Dans le courant de l’existence, mais aussi dans le déroulement d’une simple journée, chaque individu connaît des fluctuations personnelles dans son être. Chacun tente, avec ses moyens/compétences du moment, de prendre soin de soi, en répondant aux manques qui se présentent, en vue de conserver/rétablir son propre équilibre.

La nature des besoins
Les besoins personnels sont plus ou moins conscients. Par exemple, la sensation de faim ou de sommeil sont en général conscientes et, de ce fait, il nous y est plus facile d’y répondre, en se nourrissant ou en se reposant.

Cependant, il peut arriver que nous identifiions mal le besoin. Par exemple, si je vais me coucher alors qu’en réalité j’ai faim, cela va engendrer une frustration qui va demeurer tant que le véritable besoin n’aura pas été comblé. Autrement dit, je continuerai d’avoir faim et je risque de ne pas dormir dans de bonnes conditions, puisque la qualité de mon sommeil est entravée par la gêne inhérente à la faim non comblée.

Par ailleurs, certains besoins sont inconscients. C’est notamment le cas lorsque je sens que quelque chose ne va pas comme je le souhaiterais, que je ressens une forme d’inconfort, sans que je ne sache pour autant quoi faire pour que celle-ci disparaisse. Parfois, ce désagrément disparaît par lui-même. Dans d’autres cas, celui-ci perdure, malgré les différentes solutions que j’ai tenté d’appliquer.

La subtilité de l’équilibre humain
L’humain possède en lui trois niveaux : l’intellectuel, le physique et l’émotionnel. Certains parlent aussi de la tête, du corps et du cœur. Chacune de ses niveaux se divisent en de nombreuses composantes. L’intellectuel regroupe tout ce qui est de l’ordre du raisonnement pur et des connaissances. Le physique se compose de tout ce qui regroupe la santé du corps, mais aussi les mouvements et l’habileté manuelle. Enfin, l’émotionnel englobe tout ce qui est de l’ordre du relationnel, avec soi, comme avec les autres.

Construction du déséquilibre
Lorsqu’ une ou plusieurs composantes de l’un, de deux ou des trois niveaux (intellectuel-physique-émotionnel) sont mises à l’épreuve, l’individu ressent un inconfort plus ou moins conséquent. Il va alors essayer de se débarrasser de ce sentiment de mal-être, avec plus ou moins de succès.

Il arrive également qu’un déséquilibre qui s’installe à un niveau entraîne une péjoration d’un autre élément du même niveau. Par exemple, si j’ai une jambe cassée (niveau physique), mes capacités de mouvement (toujours niveau physique) seront moins efficaces. Cet exemple se veut volontairement simple pour davantage de clarté. Néanmoins, en cas de mal-être persistant, les éléments sont plus subtils et moins conscients.

Il peut aussi arriver qu’un déséquilibre qui s’installe à un niveau entraîne une péjoration d’un élément situé dans un autre niveau. Par exemple, si j’ai mal à la tête (niveau physique), mes capacités à tenir un discours (niveau intellectuel, voire émotionnel) seront moins efficaces. Cet exemple se veut volontairement simple pour davantage de clarté. Néanmoins, en cas de mal-être persistant, les éléments sont plus subtils et moins conscients.

Solution
En étudiant individuellement toutes les composantes de chacun des 3 niveaux, il devient possible de déterminer l’origine du déséquilibre. Identifier les causes (conscientes ou inconscientes) permet ainsi de planifier les éléments à mettre en place, afin de se débarrasser du mal-être ressenti par l’individu.

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Prendre conscience de soi et savoir qui l’on est vraiment

Posted in Coaching, Comportement, Personnalités with tags , , , , , , , , , , , , on 23 octobre 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Il vous est certainement déjà arrivé de ressentir un certain malaise face à un choix ou face à une obligation, dans la vie professionnelle ou privée. Parfois, on sent que « quelque chose ne joue pas », mais on ne prend que très rarement le temps d’approfondir le sentiment d’incertitude qui nous traverse l’esprit un bref instant, afin d’en comprendre les causes.

Pourtant, ce cheminement personnel peut avoir de nombreux impacts positifs, d’abord pour soi-même, mais aussi pour ceux qui nous sont proches : famille, amis, collègues.

La construction de la personnalité
Indépendamment des facteurs purement héréditaires, de l’ordre des caractéristiques physiques, nous sommes, dès la naissance, influencés par tout ce qui évolue dans notre environnement. Celui-ci se compose de nombreuses personnes, mais possède également tous les critères liés à l’époque et à la culture. Nous accumulons, ainsi, une foule d’informations et adoptons certaines d’entre-elles comme s’il s’agissait de réalités immuables. Albert Einstein parlait de « l’accumulation des préjugés acquis jusqu’à l’âge de 18 ans ». Ceux-ci vont modeler notre véritable personnalité, tant et si bien que nous finissons par devenir quelqu’un d’autre que nous-mêmes.

Etre soi
Evoluer pour être soi-même est possible. Autant faut-il encore savoir comment se découvrir, pour devenir soi. La Programmation Neuro-Linguistique (PNL) offre une palette d’outils efficaces et personnalisables, avec pour objectif l’obtention de résultats rapides. Méthode au succès florissant, depuis sa création par John Grinder, linguiste, et Richard Bandler, mathématicien et psychothérapeute, au début des années 1970, consiste en un processus d’intervention brève de développement personnel.

Etre soi, découvrir ses valeurs personnelles et ses peurs inconscientes, qui influencent nos actes et nos choix ; comprendre l’origine des blocages individuels, afin de les dépasser ; développer ses forces conscientes et repérer celles qui sommeillent en nous, ce sont tous des objectifs que je vous propose en tant que praticienne PNL.

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Les troubles de la personnalité

Posted in Coaching, Comportement, Personnalités with tags , , , , , , , , , , , , , , on 15 octobre 2014 by Stephanie Graf, Licoach

Selon la vision de la psychologie, il existe 10 types de personnalités.

Chacun appartient à l’un de ces types, en fonction de son choix de fonctionnement. On parle alors de traits de personnalité.

Dans certains cas, lorsque les traits deviennent importants en termes d’intensité et de fréquence, on parle alors de trouble de la personnalité, parce que leur survenue devient handicapante pour celui qui en souffre et pour son entourage.

Les 10 types sont classés en trois catégories :

Le groupe A : les personnalités excentriques, bizarres
A1) Paranoïaque : tendance à la méfiance et aux soupçons envers les autres chez qui elles interprètent des intentions malveillantes à leur égard.
A2) Schizoïde : tendance se détacher des relations sociales, peu d’expression émotionnelle
A3) Schizotypique : tendance à mal vivre les relations de proximité, interprétations étranges et conduite excentrique

Le groupe B : les personnalités impulsives, dramatiques
B1) Antisociale : tendance à mépriser et transgresser les droits d’autrui, quels qu’ils soient
B2) Borderline : tendance à l’impulsivité, à l’instabilité relationnelle, fluctuation de l’image de soi et des émotions
B3) Histrionique : tendance à chercher l’attention, être le centre d’attraction et réactions émotionnelles excessive
B4) Narcissique : tendance à se voir grandiose, besoin d’admiration et manque d’empathie

Le groupe C : les personnalités anxieuses, craintives
C1) Evitante : tendance à se dévaloriser, crainte du jugement négatif d’autrui
C2) Dépendante : tendance à la soumission, besoin excessif d’être pris en charge
C3) Obsessionnelles-compulsive : tendance à se préoccuper de l’ordre, recherche de la perfection

Certains individus pourraient représenter plusieurs troubles de personnalité. On parle alors de trouble mixte.

Origine et construction
Le type de personnalité individuel serait directement lié aux expériences vécues dans la prime enfance. On peut alors penser que celui-ci n’est pas inné, mais plutôt acquis au cours des premières années de vie. Ainsi, l’individu qui a subi des expériences douloureuses, telles que la manipulation/négligence/carence affective participent à la survenue d’un trouble de la personnalité.

En dehors de ce classement, certains auteurs ajoutent d’autres troubles, tels que la personnalité anxieuse ou dépressive.

Traitement
S’il s’agit d’un trait de personnalité, il est important pour l’individu de pouvoir en prendre conscience. En termes de développement personnel, cela peut favoriser une modification des comportements et prévenir la transformation des traits en troubles de la personnalité.
S’il s’agit d’un trouble de personnalité, la prise en charge psychologique est recommandée, dans l’objectif de soulager l’individu dans sa souffrance, ainsi que son entourage. Par l’établissement d’une relation empathique avec un intervenant, il peut rechercher l’origine de trouble et, par la prise de conscience, l’atténuer dans sa vie quotidienne.

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